Comment j’ai investi dans l’immobilier à Kyoto : une expérience enrichissante

Comment j'ai investi dans l'immobilier au Japon : une expérience enrichissante

Sommaire

  1. Pourquoi j’ai voulu devenir propriétaire au Japon ?
  2. À quoi ressemble le terrain que j'ai acheté ?
  3. Les obstacles rencontrés
  4. Parlons argent !
  5. Mes conseils pratiques

Il y a quelques années, l'idée de devenir propriétaire au Japon me semblait complètement irréaliste. Après avoir vécu dans des appartements exigus, je n'avais pas vraiment envisagé d'acquérir un bien immobilier ici. Cependant, avec le temps et la maturité de mes projets personnels, ce désir est devenu une nécessité.

Pourquoi j’ai voulu devenir propriétaire au Japon ?

Après plusieurs années passées dans des logements restreints, j'ai ressenti le besoin d'un espace qui puisse accueillir ma famille grandissante. Élever des enfants dans un appartement urbain ne me semblait pas idéal. Je voulais un endroit où nous pourrions tous nous épanouir ensemble.

En explorant différentes options, je me suis rapidement rendu compte que la rénovation d'une maison existante s'avérait complexe et coûteuse. J'ai donc commencé à envisager l'achat d'un terrain afin de construire une maison sur mesure correspondant à nos besoins.

À quoi ressemble le terrain que j'ai acheté ?

J'ai finalement trouvé un petit terrain qui était considéré comme non constructible en raison de sa configuration particulière. Ce dernier avait été abandonné après la démolition d'une vieille maison suite à un typhon.

Malgré son statut inconstructible initial, ce terrain offrait beaucoup de potentiel car il se situe entre plusieurs propriétés familiales, permettant ainsi une combinaison future intéressante avec celles-ci.

Les négociations ont duré plusieurs semaines et ont impliqué une agence immobilière pour faciliter les échanges entre moi-même et les anciens propriétaires du terrain.

Voici quelques caractéristiques du terrain :

  • Prix : 1 500 000 ¥ (environ 11 500 €)
  • Superficie : environ 60 m²

Bien que relativement petit, cet espace convenait parfaitement à notre projet familial.

Les obstacles rencontrés

L'un des défis majeurs a été l'obtention du financement nécessaire pour cette acquisition. Au Japon, obtenir un prêt peut être compliqué pour les étrangers en raison des exigences strictes mises en place par les banques locales.

Le processus exigeait plusieurs conditions telles qu’un visa stable ou encore prouver ma situation professionnelle stable auprès des institutions financières japonaises.

En outre, il a fallu naviguer à travers différentes formalités administratives concernant la propriété et les réglementations liées aux terrains non constructibles.

Parlons argent !

Investir dans l'immobilier nécessite également une solide préparation financière. Il est crucial d'avoir non seulement assez d'économies mais aussi un revenu régulier pour répondre aux attentes des banques lors de la demande de prêt immobilier.
Pour donner une idée générale :

  • Le coût moyen des terrains peut varier entre 10 millions et 30 millions de yens.
  • Des frais supplémentaires sont également à prévoir tels que les impôts fonciers annuels ou encore le coût lié à l'enregistrement auprès de la mairie.

La gestion efficace des finances personnelles est primordiale tout au long du processus d'achat immobilier !

Mes conseils pratiques

Si vous envisagez également d'acheter votre propriété au Japon, voici quelques conseils clés :

  • Préparez-vous financièrement avant toute démarche afin de montrer votre sérieux aux institutions financières.

  • Renseignez-vous minutieusement sur toutes les étapes nécessaires pour éviter surprises désagréables.

  • Soyez patient ! Le processus peut sembler long et frustrant; néanmoins chaque étape mérite attention si vous souhaitez concrétiser votre rêve immobilier.

Je partage mon expérience espérant qu'elle servira comme source inspiration aux autres intéressés par ce chemin vers la propriété au Japon !

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